Menu
- 04.91.47.82.50
2 jours / 14 heures
20 maximum
MK, Orthophoniste, IDEL
DPC, Plan de développement des compétences (OPCO), Fonds propres
Cette action se déroule en deux étapes. Dans un premier temps il s’agit à partir d’une synthèse actualisée des différentes données scientifiques, de décrire précisément les maladies neurodégénératives, les troubles du comportement, et les répercussions sur les patients atteints de ces pathologies. Ce premier temps doit permettre d’identifier les différentes maladies et les troubles du comportement engendrés par ces maladies. Cette étape permettra d’identifier tous les signes avant-coureurs des maladies ainsi que les risques d’une perte d’autonomie élément fondamental de la qualité de vie et de la prise en charge des personnes atteintes de maladie neurodégénérative.
Dans un deuxième temps il s’agit de réfléchir aux différents modes de communication adaptée pour établir une relation d’aide de qualité avec les patients et les aidants. Ce temps doit permettre de personnaliser les soins et de proposer à partir des moyens non médicamenteux validés une prise en charge favorisant l’autonomie et la qualité de vie des personnes tout au long de leur vie.
Être titulaire du DE
Lorsque la formation se déroule en classe virtuelle synchrone : le participant devra disposer d’un ordinateur ou d’une tablette, avec micro et webcam, et d’une connexion haut débit.
Dans ce cas, la formation se déroule selon les horaires et la durée du présentiel : il faudra donc prévoir un environnement propice à la concentration et à l’assiduité.
Développer ses compétences pour améliorer la qualité de vie des personnes âgées atteintes d’une maladie neurodégénératives
Développer ses connaissances et acquérir les techniques pour adopter les attitudes professionnelles adaptées.
Améliorer la qualité des relations avec les patients et leur entourage.
Le nombre minimum de participants requis pour le maintien de la formation est de 5 (obligation imposée par l’Agence du DPC depuis avril 2022 et également par le FIFPL ).
Formation présentielle ou en classe virtuelle synchrone (vidéoconférence) : consulter le calendrier des sessions.
Modalités d’inscriptions :
– en nous contactant par téléphone ou mail,
– en remplissant le formulaire d’inscription de la session choisie,
– sur mondpc.fr pour les formations DPC.
Inscription possible jusqu’à la veille de la formation, pour les actions de DPC et FIFPL collectives. Pour les formations FIFPL individuelles, prévoir 15 jours de délais pour obtenir l’accord de prise en charge.
Remise d’un livret pédagogique reprenant les notions essentielles, fiches techniques, fournis au format papier ou numérique
Méthodes pédagogiques affirmatives : transmission du savoir par méthode expositive (cours magistral) ou démonstrative (atelier de démonstration avec explication).
Méthodes interrogatives : questionnement structuré pour faire découvrir et trouver, par induction ou déduction, les connaissances que l’on souhaite faire acquérir (session de questions-réponses).
Méthodes actives (ou expérientielles) : confrontation à la réalité des pratiques et aux difficultés rencontrées, afin de rechercher l’information nécessaire pour découvrir les meilleures solutions à mettre en œuvre et à évaluer (analyse de cas cliniques ou de situations réelles, jeu de rôle). Le participant, impliqué et actif, apprend à travers ses expériences et ses connaissances préalables.
– Diaporama interactif intégrant des médias audio et vidéo, des cas concret.
– Tests en ligne interactifs
Évaluation des apprentissages réalisés en termes de connaissances et compétences : feedback permettant de s’assurer que les stagiaires assimilent les connaissances, mises en application par des exercices, pré-test et post-test permettant de mesurer les acquis, à l’aide de critères objectifs.
Évaluation de la satisfaction des apprenants : questionnaire d’évaluation de la formation à chaud.
Dans le respect de l’article 41 de la Loi pour l’égalité des droits et des chances, nos formations sont accessibles à tous, et notamment aux personnes en situation de handicap. Dans le respect de nos prérequis, nous mettons en œuvre les adaptations pédagogiques nécessaires, selon le handicap, et nous nous assurons que les conditions d’accueil et d’accès sont réunies. Si vous avez besoin que nous mettions en place des adaptations pédagogiques, compensations et aménagements, merci de cliquer sur ce lien.
580 € (T.V.A. non applicable) dans le cadre d’un financement en fonds propres par les professionnels libéraux, cette formation ouvre droit au crédit d’impôt pour dépenses de formation des dirigeants. En 2024, la loi de finances double le montant de l’avantage fiscal qui peut ainsi atteindre 901,60 € (pour 40h de formation). Vous pouvez en savoir plus ici : Crédit d’impôt pour la formation des libéraux
Dans le cadre du DPC, la formation est prise en charge et indemnisée pour les professionnels et les structures concernées. Consultez votre forfait de prise en charge et d’indemnisation sur le site de l’Agence du DPC : forfaits DPC
Dans le cadre du FIFPL, la formation est susceptible d’être prise en charge dans la limite de votre budget, suivant les critères annuels en vigueur. Vous pouvez les consulter ici : FIFPL
27/09/2021
À l’occasion de la journée Alzheimer, l’Agence nationale du DPC et le Professeur Joël ANKRI, référent scientifique de la feuille de route Maladies neuro-dégénératives 2021-2022, souhaitent rappeler le rôle essentiel des médecins généralistes dans le dépistage précoce des troubles neuro-cognitifs, axe 1 de la stratégie de prise en charge des maladies neuro-dégénératives.
Les maladies neuro-dégénératives (MND), dont la maladie d’Alzheimer, sont un enjeu sociétal majeur. Elles concernent l’ensemble de la population française de tous âges. La maladie d’Alzheimer et les maladies apparentées impactent entre 1,1[1] et 1,2 million de personnes malades[2] et concernent plus de 2 millions d’aidants. On estime qu’en 2050, 2 240 000 personnes seront touchées par la maladie[3].
Or, toutes les données montrent qu’en France, la maladie d’Alzheimer et les troubles neurodégénératifs sont repérés trop tardivement. Seuls 50 % des patients sont diagnostiqués suffisamment tôt selon les données du programme européen Alcove. Et, lorsque le diagnostic est posé, il intervient tardivement avec un délai moyen évalué à 24 mois en France après l’apparition des premiers symptômes (contre 10 en Allemagne)[4]. L’absence, à ce stade, de stratégies médicamenteuses peut constituer un élément explicatif de la réticence éthique à diagnostiquer une maladie pour laquelle il n’y aurait rien à faire. Or justement en l’absence de traitement, il n’y a pas rien à faire.
Les maladies neurodégénératives sont des maladies dont la fréquence augmente de manière importante avec l’âge. On estime qu’il y a actuellement en France :
plus d’un million de personnes touchées par la maladie d’Alzheimer (ou autres démences) ;
environ 160 000 personnes traitées pour la maladie de Parkinson ;
environ 2 300 nouveaux cas par an de maladies du motoneurone, dont la principale cause est la sclérose latérale amyotrophique (SLA).
En raison du vieillissement progressif de la population et de l’absence de traitements curatifs, le nombre de personnes souffrant de maladies neurodégénératives a considérablement augmenté au cours des dernières décennies et devrait croître de manière régulière dans les années à venir (source Santé publique France).
Santé publique France met en œuvre une surveillance épidémiologique des principales maladies neurodégénératives ; étudie leur lien éventuel avec les expositions environnementales et professionnelles et les comportements de santé ; évalue leurs conséquences et les facteurs qui influencent leur pronostic.
Consultez leurs dossiers thématiques (Alzheimer, Parkinson, Sclérose en plaques) en cliquant sur ce lien.